Le CCCA inscrit son action dans la démarche WADA, Wallonie amie des aînés. C’est une démarche inscrite dans la durée, sur une ou plusieurs mandatures.
Être WADA modifie l’approche traditionnelle des rapports entre l’administration communale et ses citoyens. Cette dernière consulte les aînés avant de prendre des décisions qui les concernent et adapte ses structures à leurs besoins.
Ce projet vise à faire participer les aînés de la commune autour de thèmes convenus et selon une méthode appropriée. Le but final est d’aboutir à des actions concrètes et concertées en leur faveur.
Concrètement, il s’agit
- d’adapter les politiques, services et structures aux besoins et priorités des aînés.
- de soutenir la participation et la citoyenneté des aînés, développer leur pouvoir d’agir.
- de promouvoir un vieillissement actif en agissant sur l’environnement social et physique.
Membres du comité
Chargée de projet : Maryline Nicolet du Comité Local de la Promotion de la Santé (CLPS) du Brabant Wallon
Animatrice du projet : Audrey Jorion
Référent local : Daniel Vanderstichelen
Membre : Alain Dewattine
Actions et projets :
2019 : les actions réalisées
Deux conférences sur ce sujet ont été organisées par le comité de pilotage, en collaboration avec la personne ressources Madame Leleu (sociologue, gérontologue, projet Wallonie Amie Des Aînés au département architecture de l’UCL) et l’Agence Wallonne pour une Vie de Qualité (AVIQ).
Le CCCA s’est prononcé en faveur d’une adhésion à la convention WADA, lors de son AG du 20/12/2019.
Sa décision a été transmise aux autorités communales. Le collège communal doit se prononcer prochainement sur ce projet.
2020 : les projets
Quatre priorités.
- Obtenir le soutien des autorités communales dans cette démarche.
- Rechercher des bénévoles, par un appel à candidatures et constituer un groupe pour travailler sur la thématique des ainés dans la commune.
- Former les ainés impliqués dans la démarche
- Piloter un premier projet autour d’un thème à déterminer.
2022 : Rix’AdA : reporté sine die jusqu’à ce que l’AVIQ et l’ Administration communale seront en mesure de reprendre cette activité.